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De 2000 à 2010

2002

85% de ses adhérents exerçant sous le statut de profession libérale (sous le régime fiscal BNC ou micro-entrepreneur), la SFT adhère à l’UNAPL, confédération intersyndicale et interprofessionnelle visant à « défendre les intérêts moraux et matériels des professions libérales », à travers huit commissions spécialisées (Affaires sociales, Affaires fiscales et économiques, Retraite et Prévoyance, Europe, Numérique, Parité-égalité, Formation et Sécurité, Citoyenneté et Défense). Anne-Marie Robert, sous mandat SFT, est en 2020 membre du bureau national de l’UNAPL.

La SFT compte près de 900 adhérents.

2003

50e anniversaire de la FIT à l’UNESCO à Paris (20‒22 novembre).

2004

Signature d’un accord de réciprocité entre les présidents de la SFT et de l’Institute of Translation & Interpreting (ITI), afin de resserrer les liens culturels et professionnels, d’encourager la coopération entre professionnels de la traduction francophones et anglophones adhérents.

2005

Un projet de Charte du Traducteur salarié dans son environnement professionnel, conçu par la commission Salariés de la SFT, est approuvé dans son principe par le Comité directeur, sous réserve de quelques modifications sur le fond. Le document vise à être diffusé aux adhérents salariés et sur le site Internet du syndicat.
Marie Lemasson, qui représente depuis trois ans la SFT au Conseil de la FIT, est nommée rédactrice en chef de la revue interne de la FIT, Translatio.

2006

Naissance de la norme CEN 15038, fruit d'une démarche européenne des professionnels de la traduction, dont la SFT. Cette norme européenne spécifique aux services de traduction « englobe le processus de traduction proprement dit ainsi que tous les aspects connexes qu'implique la prestation du service, notamment l'assurance qualité et la traçabilité ». En 2015, elle sera remplacée par la norme ISO 17100.

2007

Refonte du site web de la SFT et mise en place d’un outil de gestion décentralisé.

2008

Première édition, à Paris, de la formation Horizon Justice Française, conçue par la SFT à destination des traducteurs et interprètes, étudiants en traduction intéressés par l’expertise de justice et le monde judiciaire.

Lancement du réseau franco-espagnol en octobre, qui est aujourd'hui composé de quatre associations nationales de traducteurs : la SFT, l'ASETRAD (Asociación Española de Traductores Correctores e Interpretes), la CBTI (Chambre belge des traducteurs, interprètes) et avec l'AATI (Asociación Argentina de Traductores e Intérpretes), depuis 2014, est désormais étendu au continent sud-américain.

2009

La SFT édicte un Code de déontologie générale de ses adhérents, définissant les principes, devoirs et usages de la profession et fixant un cadre de référence à tous les traducteurs, quel que soit leur statut, indépendant ou salarié. Ce code, dont la signature est obligatoire pour tous les adhérents de la SFT, retient trois principes généraux :

  • Probité et intégrité, qui garantissent le respect du donneur d’ouvrage et de la mission du traducteur ainsi que la réputation de la profession ;
  • Fidélité, qui renvoie à la restitution correcte du texte source ;
  • Respect du secret professionnel.

À ces principes généraux s’ajoute le respect par le traducteur de la législation de l’État dans lequel il exerce sa profession, notamment en matière de régime social et fiscal.

La revue trimestrielle Traduire devient semestrielle.

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De 1990 à 2000
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De 2010 à nos jours
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